Le chien des Baskerville (mardi, 06 février 2007)

Lectures de jeunesse !

Chers lecteurs, j'aimerais pouvoir vous dire à quelle date j'ai lu ce roman. Mais je n'en sais rien! Sur mon cahier de lecture de l'époque, il n'y a ni date, ni commentaire. Je devais sûrement penser que ma mémoire résisterait au temps. Quelle naïveté! Mais voilà, j'ai quand même envie de vous parler de toutes ces lectures du passé! Je ne vais pas les laisser aux oubliettes, non d'un livre de poche! Alors ne soyez pas déçus si les détails manquent cruellement. Voilà, vous serez prévenus. Si vous souhaitez déposer une plainte, allez-y... (enfin, pas trop fort quand même, dites!)

Le chien des baskerville.jpgDes cris lugubres sur la lande... Et la légende prend corps! Un chien énorme, créature fantomatique et infernale, serait à l'origine de la mort de Sir Charles Baskerville... Maudit soit Hugo, l'ancêtre impie et athée, qui provoqua, en son temps, les forces du mal!

Le chien de l'enfer! Sherlock Holmes ne peut croire à de telles sornettes. Aussi, lorsqu'il dépêche le fidèle Watson auprès de Sir Henry, l'héritier nouvellement arrivé d'Amérique, il ne doute pas de mettre fin rapidement à ces spéculations.

Pourtant, la mort a frappé plusieurs fois sur la lande. Le long du grand bourbier de Grimpen... Et au manoir, il se passe d'étranges choses...

Se peut-il que la malédiction des Baskerville frappe encore? Foi de Sherlock Holmes, cela ne sera pas!

Oui, j'ai aimé Le chien des Baskerville! D'ailleurs, j'apprécie toujours une petite enquête de Sherlock Holmes, de temps à autres. J'aime bien découvrir les indices qui mènent au dénouement. (ça m'a toujours captivé) Mais ce n'était pas ma première incursion dans l'univers du célèbre détective. J'avais, auparavant, dévoré les nouvelles du recueil des Aventures de Sherlock Holmes.

La canne

« Sherlock Holmes, qui d'ordinaire se levait très tard, excepté dans ces occasions assez fréquentes où il veillait toute la nuit, était attablé devant son petit déjeuner. J'étais debout sur le tapis du foyer et je ramassais la canne que notre visiteur avait oublié la veille au soir. C'était une belle et forte canne en bois, avec une tête ronde, de celles dont on dit que ce sont des "permissions de minuit". Juste au-dessous du pommeau, il y avait un bel anneau d'argent, large de presque un pouce, sur lesquel était gravé "A James Mortimer M.R.C.S. de ses amis du C.C.H." avec la date "1884". C'était bien la sorte de canne que portait autrefois le médecin de famille, une canne pleine de dignité, solide et rassurante.

-Et bien, Watson, qu'est-ce que vous en dites?  »

18:00 Écrit par Hilde | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : librio | | |  Facebook | | | | Pin it!