Chiisakobé #1
Pour notre rendez-vous "Manga", je vous propose de découvrir Chiisakobé de Minetarô Mochizuki.
D'après le roman de Shûgorô Yamamoto
Éditions le lézard noir, 2015
Shigeji, jeune charpentier, perd ses parents et l’entreprise familiale, «Daitomé», dans un incendie. Se rappelant les paroles de son père, « quelle que soit l’époque dans laquelle on vit, ce qui est important, c’est l’humanité et la volonté», il fait le serment de reconstruire Daitomé.
Mais son retour à la maison natale s’accompagne de l’arrivée de Ritsu, amie d’enfance devenue orpheline et qu’il embauche comme assistante, et de cinq garnements au caractère bien trempé échappés d’un orphelinat. La cohabitation va faire des étincelles. Présentation éditeur
J'ai bien accroché et lu d'une traite le premier tome de cette série manga.
Shigeji doit assumer ses nouvelles responsabilités, faire ses propres choix et on imagine à quel point ça doit être difficile. Avec sa longue chevelure et sa barbe bien fournie, il surprend un peu. Les personnages ont un sacré caractère, les enfants y compris même si tous ont un peu de mal à communiquer. Malgré les tragédies, c'est sans pathos et plutôt agréable à lire.
Le père de Yûko est plus que bizarre! Je l'ai trouvé flippant avec ses photos voyeuristes et ses remarques déplacées.
Pour ce qui est du graphisme, de jolis dessins fins et détaillés, des plans larges et rapprochés. C'est très plaisant.
Vivement la suite! J'ai maintenant envie de savoir comment ce jeune entrepreneur va gérer l'entreprise familiale ainsi que ses relations avec Yûko, Ritsu et les enfants.
Une série à poursuivre.