Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

La loi des séries - Page 14

  • Humain mais divin

    Imprimer

                             

    Je crois que l'exercice le plus difficile est de parler des livres qu'on aime le plus. Les livres de Bernard Werber font partis de cette catégorie! Une fois plongée dedans, je n'en sors quasiment plus. J'ai lu Nous les Dieux tellement vite et puis, à chaque fois que je vais à la librairie, j'hésite à acheter Le souffle des Dieux mais je dois encore attendre. (mon anniversaire où le jour où j'aurais vingt euros rien que pour lui)

     

    Quatrième de couverture:

    Quelque part, loin, très loin, se trouve une île que ses habitants appellent Aeden. Là, perchée sur un haut plateau, une ville : Olympie. Dans son cœur, une étrange institution, l'Ecole des Dieux, et ses professeurs : les douze dieux de la mythologie grecque, chargés d'enseigner l'art de gérer les foules d'humains pour leur donner l'envie de survivre, de bâtir des cités, de faire la guerre, d'inventer des religions ou d'élever le niveau de leur conscience.
    La nouvelle promotion ? Cent quarante-quatre élèves dieux qui vont devoir s'affronter à travers leurs peuples, leurs prophètes, chacun avec son style de divinité. Mais la vie sur Aeden n'est pas le paradis. Un élève essaie de tuer ses congénères, un autre est tombé fou amoureux du plus séduisant des professeurs, Aphrodite, déesse de l'amour, et tous se demandent quelle est cette lumière là-haut sur la montagne qui semble les surveiller... Après Les Thanatonautes et L'Empire des anges, Bernard Werber nous entraîne encore plus loin dans la découverte des spiritualités et des mythologies. A la fin de cette extraordinaire saga où se mêlent aventure, suspense et humour, vous vous poserez, vous aussi, la question : " Et moi, si j'étais Dieu, je ferais quoi ? "
  • La saga Malaussène

    Imprimer
      
     
    La saga Malaussène, c’est avant tout une histoire de famille ! J’ai découvert cet univers en 1995, notre professeur de français nous avait fait étudier un extrait et j’ai vraiment eu envie de lire la suite.

    Je me suis très vite attachée aux personnages et j’avais vraiment envie de faire partie de leur famille, de découvrir le quartier de Belleville à Paris! C’est plein d’humour, d’ironie, ne passez pas à côté !

     Au bonheur des ogres: « Côté famille, maman s’est tirée une fois de plus en m’abandonnant les mômes, et le Petit s’est mis à rêver d’ogres de Noël.

    Côté cœur, tante Julia a été séduite par ma nature de bouc (de bouc émissaire).

    Côté boulot, la première bombe a explosé au rayon des jouets, cinq minutes après mon passage. La deuxième, quinze jours plus tard, au rayon des pulls, sous mes yeux. Comme j’étais là aussi pour l’explosion de la troisième, ils m’ont tous soupçonné. Pourquoi moi ? 

    Je dois avoir un don. » Quatrième de couverture

    Les titres:

    • -Au Bonheur des ogres
    • -La Fée Carabine
    • -La Petite Marchande de Prose
    • -Monsieur Malaussène
    • -Des chrétiens et des Maures
    • -Aux Fruits de la passion
      
  • Harry Potter

    Imprimer

     

     

     

     

     

    Évidemment, je ne pouvais passer à côté d'Harry Potter. On aime ou on n'aime pas mais ça reste un phénomène littéraire. Même Mr Hilde (lecteur de BD à 99%) a lu toute la saga. D'ailleurs, je n'ai jamais réussi à lui faire lire autre chose depuis!

    De mon côté, j'ai dévoré les aventures d'Harry Potter et j'aurais été bien bête de ne pas le faire! 

    Je les ai presque tous lus en anglais. A l'époque, je ne me serais pas risquée à lire un livre en Vo. Je dois dire que ça m'a redonné confiance. Après j'ai enchaîné avec Charlie and the chocolate factory et j'ai bien entamé The Chronicles of Narnia. Bref, je n'ai plus peur de lire en anglais.

    Pour en revenir à la saga, certains disent que ces "grosses machines médiatiques" bouffent tous les "petits" auteurs pour la jeunesse qui tentent de survivre et de se faire une place dans le monde de l'édition. Ce n'est pas faux mais je trouve surtout dommage qu'il n'y ait pas de la place pour tout le monde.

    D'autres, devant l'ampleur du phénomène se vantent de ne pas en avoir lu un seul et qu'ils n'ont pas envie de lire ce genre de livre. Je comprends cette position, à trop entendre parler d'un titre, on finit par ne plus avoir envie de le lire, ça m'arrive aussi de temps en temps.

    • Édito 2015: En réalité, je n'ai plus peur de lire des romans jeunesse en anglais mais par la suite, j'ai rencontré quelques complications, notamment avec  Pride and Prejudice de Jane Austen, qui a un peu sapé ma confiance. Tout n'est pas encore gagné pour la lecture en Vo.

  • Les Chroniques de San Francisco

    Imprimer

    Si vous avez envie de vous détendre et de passer un bon moment, je vous conseille les Chroniques de San Francisco d'Armistead Maupin.

    C'est drôle, les personnages sont attachants et c'est avec plaisir qu'on suit leurs aventures déjantées!

    A lire sans modération, ça ne nuit pas à la santé!

    Résumé: "San Francisco et sa fameuse baie, ses tramways cahotant dans les rues en pente, son pont du Golden Gate, compte désormais un monument de plus: le 28, Barbary Lane, une pension de famille tenue par la pittoresque Anna Madrigal qui materne ses locataires avec une inépuisable gentillesse.

    Et ils en ont tous besoin, car "s'il ne pleut jamais en Californie, les larmes en revanche peuvent y couler à flot". Ils le savent bien, Mary Ann, venue de Cleveland dans cette ville qui a le don de décoincer les gens, Mona, qui vient de perdre son emploi, Michael qui cherche vainement l'homme de sa vie..."