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kaïro

  • Kaïro

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    Aujourd'hui, dans  le cadre de notre séance cinéma du vendredi, je vous propose un film d'horreur japonais.

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    Un film de 2001 réalisé par Kiyoshi Kurosawa

    Taguchi, un jeune informaticien, est retrouvé pendu dans son appartement. Sous le choc, ses collègues cherchent à en savoir plus sur ce suicide inexplicable.

    La victime a laissé un mystérieux message contenu dans une simple disquette. De toute évidence, celle-ci recèle un virus qui contamine ses utilisateurs et a de graves répercussions sur leur comportement.

    A Tokyo, l'inquiétude grandit au fur et à mesure que le virus se propage à travers les réseaux informatiques. Des petits groupes de jeunes gens tentent de résister, tandis que les disparitions se multiplient. [...] Les fantômes reviennent sur terre grâce à un système qui marche en circuit fermé. » Allociné

    Une ambiance pesante, une petite musique qui met les nerfs à vif, du suspense, un PC qui s'allume tout seul montrant des images inquiétantes, des suicides bref, de quoi faire monter un peu la tension mais sans traumatiser la blogueuse.

    Le rythme est assez lent mais ça ne m'a pas dérangée.

    Si vous êtes nostalgiques du son caractéristique que pouvait produire le modem pour se connecter à Internet, vous serez servis.

    Une réflexion intéressante sur la vie, la mort, la solitude et la peur suscitée par le réseau avec une fin apocalyptique que j'ai appréciée.

    | ***** |

    Kaïro fait référence à une tradition et à un genre, connus sous le nom de « yurei eiga » ou « bake-mono eiga », particulièrement à l'honneur au Japon dans les films des années 56-60. Les histoires racontées s'inspiraient de contes fantastiques chinois, connus au Japon sous le nom de « Kwaidan ».
    Masaki Kobayashi réalisa d'ailleurs en 1964, Kwaidan, un film articulé autour de quatre contes fantastiques. Ring de Hideo Nakata, appartient également à cette tradition.

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    Lou et moi pour Un Mois au Japon