Concours Horrorstör pour le Challenge Halloween
Le Challenge Halloween et les Éditions Milan et Demi vous proposent de gagner:
3 exemplaires d'Horrorstör de Grady Hendrix.
Ce concours est réservé aux participant(e)s du Challenge Halloween.
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Le Challenge Halloween et les Éditions Milan et Demi vous proposent de gagner:
3 exemplaires d'Horrorstör de Grady Hendrix.
Ce concours est réservé aux participant(e)s du Challenge Halloween.
Une To-do-list pour ne rien oublier pendant les festivités d'Halloween. C'est Tiphanya qui nous invite à la partager sur le groupe Facebook du Challenge.
Ce livre est un classique abrégé pour jeunes lecteurs. Je l'ai choisi pour le plaisir de la découverte, ne connaissant pas ce roman de Jane Austen.
Jane Austen
Flammarion, 2015
Catherine Morland est une héroïne attachante, malgré son esprit romanesque. Toute une gamme d'émotions la traversent tout au long du roman: espoirs, craintes, envies, joies, frustrations. Jane Austen nous décrit ses états d'âme, avec une grande finesse.
Le hasard fait bien les choses, à Bath, elle fait la connaissance d'un jeune homme: Henry Tilney, dont elle semble apprécier la compagnie. Peu à peu, elle se rapproche de sa famille.
Catherine se lie également d'amitié avec Isabella Thorpe. Malheureusement, toutes les relations ne sont pas forcément destinées à durer. Question d'intuitions et de sentiments.
Je n'ai peut-être pas éprouvé autant de plaisir à la lecture qu'avec Orgueil & Préjugés, cependant, j'ai passé un bon moment à Bath, puis à l'abbaye de Northanger, à suivre l'évolution des relations de la jeune femme. J'ai également apprécié le petit clin d’œil aux romans gothiques, avec Les Mystères d'Udolphe, cité à plusieurs reprises et qui semble influencer profondément l'affect de Catherine.
Ce roman abrégé devrait permettre aux plus jeunes de découvrir Jane Austen et son écriture vraiment unique.
Je vais essayer de le proposer à ma nièce de onze ans et tenter ensuite de recueillir ses impressions. En ce qui me concerne, c'est la version intégrale qui m'attend maintenant.
Un grand merci à Brigitte Gautrand et aux éditions Flammarion qui m'ont permis de découvrir ce titre.
A Year in England chez Titine
Les petits nouveaux cette semaine
Des Lego et coussins Star Wars, la boutique Harry Potter, quelques vitrines...
De jolies bagues sur Camden Market.
Amis blogueurs, fidèles à nos échappées diaboliques ou nouveau venu, soyez les bienvenus!
Pour la sixième année consécutive, le Challenge Halloween vous emmène en voyage. Préparez-vous à frémir une nouvelle fois !
Nous vous invitons comme chaque année à partager du 1er octobre au 5 novembre vos billets thématiques: que vous souhaitiez participer une fois, plusieurs fois voire tous les jours, faites-vous plaisir!
Direction Notting Hill, Portobello Road
Aujourd'hui, je vais vous parler d'un roman de Tom Sharpe que j'ai offert et qui s'est finalement retrouvé dans ma Pile A Lire. C'est assez inhabituel que les livres reviennent lorsqu'on les offre et ce n'est pas forcément bon signe.
Tom Sharpe
Je garde un très bon souvenir du Cru de la comtesse.
10/18, 1976, 2005
289 pages
Londres... "Henry Wilt est à bout. La quarantaine passée, chaque jour lui rappelle sa médiocrité. Une carrière au point mort, des étudiants dégénérés, et Eva sa femme, qui ne rate jamais une occasion de le rabaisser." |
Anecdote livresque
Il y a quelques années, j'avais acheté ce roman pour mon père, hospitalisé. Ne connaissant pas bien ses goûts littéraires (je ne l'avais jamais vu lire autre chose que ses revues économiques), une vendeuse en librairie m'avait donc conseillé plusieurs titres et parmi eux se trouvait le fameux Wilt 1, qu'il pouvait apprécier, étant proche du monde éducatif.
Je m'étais laissée convaincre, ma première lecture de Tom Sharpe restant un souvenir sympathique.
Flop total, mon père me l'a rendu rapidement, me faisant comprendre qu'il n'avait pas aimé, mais sans entrer dans les détails et insistant sur le fait, qu'il avait en revanche beaucoup apprécié le roman de Christian Signol, offert le même jour.
Sur le moment, je me suis demandée ce qui avait pu lui déplaire au point de me le rendre si vite. La couverture à l'époque était moins explicite, plus sobre aussi.
J'étais loin d'imaginer que j'avais offert une histoire de poupée gonflable à mon père et qu'elle finirait par revenir dans ma Pile A Lire. So shoking!
**********
C'est vrai que je ne m'attendais pas à trouver un humour aussi graveleux, allant au delà des affaires de couples habituelles avec des réflexions parfois obscènes, un vocabulaire assez grossier, servant une histoire complètement délirante, voir un peu absurde. Je comprends que "Papa" n'ait pas aimé le style. Et puis, l'humour, c'est tellement personnel.
Malgré un côté burlesque indéniable et quelques scènes particulièrement comiques et cocasses, ce ne fut pas très distrayant, pour moi non plus.
Les personnages me semblaient fades et j'ai senti croître un certain désintérêt pour ce qui leur arrivait, c'est à dire rien de vraiment passionnant.
Eva et Henry ne forment pas un couple très charismatique, leur quotidien est ennuyeux, et pour couronner le tout, le rythme est assez lent.
Au moment où j'envisageais d'abandonner (c'est pourtant assez rare que je déclare forfait), je suis allée lire le dernier chapitre, qui a titillé ma curiosité et m'a donné envie de découvrir ce qui s'était passé entretemps pour que ça se termine ainsi.
Bref, contrant les longueurs, j'ai survolé et pioché les détails qui m'intéressaient: ce qu'on découvre sous le ciment, les détails de l'enquête, le changement d'attitude d'Eva...
Les quelques rebondissements de l'affaire sont assez inattendus et suffisamment saugrenus pour entretenir un peu le suspense.
Avec le recul, je me rends compte du potentiel comique de l'histoire mais ce n'est pas suffisant pour me donner envie de lire Wilt 2, pas tout de suite en tout cas.
D'ailleurs, on peut tout à fait en rester là, aucune intrigue ne repart à la fin, à ma connaissance.
Je reviendrai vers cet auteur qui m'avait tant amusée la première fois. Tom Sharpe et l'humour anglais n'ont pas fini de me surprendre.
A Year in England chez Titine
Ils me tentent tous. I want it all!
Black Day: The Monster Rock Band, Marcus Sikora, Mardra Sikora, Noah Witchell, Barnes & Noble, 2015 -> All ages
Dixie O’Day and the Haunted House, Shirley Hughes (UK), Random House Children, Septembre 2015
Je suis passée par la boutique Harry Potter à Londres (St-Pancras). A mon retour, on a joué au Trivial Pursuit (en VO). Résultat, j'ai sorti le cinquième tome de la bibliothèque pour poursuivre ma relecture entamée l'an dernier.
J.K. Rowling
Gallimard Jeunesse, 2003
976 pages
Des détraqueurs à Little Whinghing? Impossible et pourtant, c'est le début des ennuis pour Harry, passant l'été, chez les Dursley. Très peu de personnes croient au retour de Voldemort, il doit faire face à un certain mépris. Le Cercle du Phénix, réuni à l'origine pour lutter contre Voldemort, s'est reconstitué. Malheureusement, Harry est un peu tenu à l'écart, Dumbledore semble l'éviter, sa cicatrice le fait souffrir et certaines visions semblent le relier directement au mage noir. C'est aussi l'année des BUSE (Brevet Universel de Sorcellerie Élémentaire) pour les élèves de cinquièle année. |
Voilà une relecture qui reste passionnante! Retrouver l'univers d'Harry Potter est toujours plaisant, bien que ce tome soit particulièrement sombre.
Harry ressent énormément de colère, de souffrances et d'anxiété tout au long du roman. L'ambiance est donc assez pesante entre les punitions d'Ombrage, les cauchemars d'Harry qui se révèlent parfois dramatiques, l'absence d'Hagrid ...
La fameuse scène avec Dumbledore, éclairant la destinée d'Harry, grâce à la prophétie, lui permet aussi d'extérioriser le ressentiment accumulé. Un passage dérangeant et un peu triste.
N'oublions pas les bons moments, par exemple lorsqu' Harry découvre qu'une partie du cercle du Phénix est venue le chercher chez les Dursley, le soutien qu'il obtient lors de la création de l'Armée de Dumbledore, sans oublier l'amitié presque inconditionnelle de Ron et Hermione.
J'ai aussi noté quelques passages mémorables: le départ "feu d'artifice" des jumeaux Weasley, l'entretien d'orientation d'Harry avec Minerva McGonagall bien remontée contre Dolores Ombrage (ça soulage vraiment), la disparition de Dumbledore avec une citation qui clôt le chapitre et que j'adore en VO et en VF:
"Voyez-vous, monsieur le ministre, il y a bien des sujets sur lesquels je suis en désaccord avec Dumbledore... Mais il faut lui reconnaître qu'il ne manque pas de style..."
A chaque lecture, je redécouvre des détails oubliés, je me suis plusieurs fois tournée vers Mr Hilde en lui demandant s'il se souvenait de telle ou telle chose.
Tout s'imbrique parfaitement, ce cinquième tome est captivant, il m'a parfois entraînée jusque tard dans la nuit. On se retrouve pour le sixième tome, dans quelques temps.
Challenge Culture Geek organisé par Sofynet & Hilde
A Year in England chez Titine
Journée pluvieuse, journée heureuse mais un peu moins de photos!
Au programme The National Gallery, Covent Garden, Forbidden Planet...