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Le Livroblog - Page 154

  • Minority Report et autres nouvelles

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    C'est vrai qu'on ne voit pas grand chose mais bon, c'est ça le jeu! On sait déjà que c'est de la Science-Fiction grâce au petit logo!

     

    "Washington, 2054. John Anderton est membre de Précrime, une unité gouvernementale utilisant les dons de prescience de trois mutants, les précogs, pour arrêter les criminels avant leur passage à l'acte. Avant même qu'ils aient imaginé de passer à l'acte.

    Anderton a une confiance aveugle dans les prédictions des précogs. Mais quand, chasseur devenu gibier, il se retrouvera lui-même accusé de meurtre d'un homme qu'il n'a jamais rencontré, il lui faudra découvrir les véritables rouages de Précrime pour prouver son innocence.

    Après Blade Runner, le chef d'oeuvre de Ridley Scott, l'oeuvre de Philippe K. Dick a inspiré quatre films de science-fiction les plus remarquables de ces dernières années: Total Recall, Planète hurlante, Impostor et Minority Report. Réunies dans ce recueil à l'occasion de l'adaptation par Steven Spielberg de "Rapport minoritaire", les nouvelles à l'origine de ces longs-métrages illustrent l'imaginaire exceptionnel de l'auteur de Substance Mort."

     

    Je l'ai lu en 2002. Je n'ai pas aimé toutes les nouvelles mais certaines étaient très sympa. Après, tout est une question de goût!  

     

     

  • Petits suicides entre amis

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    Alors, est-ce que vous reconnaissez cette couverture?

    Indice 1: L'auteur a été successivement, bûcheron, ouvrier agricole, journaliste et poète. Il a écrit une vingtaine de livres.

    Petits suicides entre amis d'Arto Paasilinna

    "Un beau matin, Onni Rellonen, petit entreprener dont les affaires périclitent, et le colonel Hermanni Kempainen, veuf éploré, décident de se suicider. Le hasard veut qu'ils échouent dans la même grange. Dérangés par cette rencontre fortuite, ils se rendent à l'évidence: nombreux sont les candidats au suicide. Et s'ils fondaient une association?

    Le succés ne se fait pas attendre. Commence alors, à bord d'un car flambant neuf, une folle tournée à travers la Finlande et jusqu'au Portugal. L'occasion aussi d'une réflexion drôle sur le suicide.

     

    Je l'ai lu il y a deux ans. J'avais vraiment adoré ce roman. C'est original, subtil et plein d'humour.

     

  • Mythes et légendes d'Aunis et Saintonges

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    Je suis à la recherche des livres de Robert Colle concernant les mythes et légendes d'Aunis et Saintonges. Ce ne sont pas des ouvrages que l'on trouve tous les jours dans les librairies de Charente-Maritime. En fait, c'est impossible car ils ne sont plus édités et les collectionneurs de livres sur le régionalisme étant de plus en plus nombreux, ça serait vraiment un hasard si je rencontrais quelqu'un qui en possède un exemplaire!  Il ne reste souvent plus que les bouquinistes qui les vendent vraiment trop chers. (je me souviens d'être allée chez un bouquiniste à La Rochelle et d'avoir hésité à en acheter un mais ça devenait un véritable investissement et mes petits revenus d'étudiante ne me permettaient pas vraiment d'investir dans les livres anciens... J'ai peut-être raté une occasion.) Il reste, tout de même, les vide-greniers, on ne sait jamais, mais là, il faut être patient et jusqu'à maintenant, je ne suis jamais tombée sur "l'affaire du siècle". Habitant maintenant en Bretagne, j'ai cessé d'y croire!

    Sur Chapitre.com, j'ai pu trouver La condition féminine de la préhistoire à nos jours en Aunis et Saintonge de cet auteur mais ce n'est pas le livre que je recherche. Il y aussi Chateaux, manoirs et forteresses d'Aunis, Saintonge à 167 euros... (bref, sans commentaire)

     

    Enfin, je me disais qu'avec Internet, j'avais une chance sur... de rencontrer une personne qui collectionne ces livres où qui en a un à sa disposition et qui puisse m'en parler!

     

  • Mémoires d'immigrés

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    Yamina Benguigui (Canal+ Editions 1997)

    "Du passé de leurs pères et de leurs mères, les enfants que j'ai rencontré ne connaissent que des bribes: colonialisme, guerre d'Algérie, indépendance... De l'histoire personnelle, du vécu de leurs parents, ils ignorent tout, ou presque. Elevés dans le provisoire, déchirés entre deux pays, mais héritiers de deux cultures, malgré la douleur, malgré la souffrance, leur présence a transformé en immigration de peuplement ce qui n'était, au départ, qu'une immigration de travail...

    Ce livre est le récit de mon voyage au coeur de l'immigration maghrébine en France. L'histoire des pères, des mères, des enfants, l'histoire de mon père, de ma mère. Mon histoire" Y.B.

     

    "Sur ce sujet parmi les plus cruciaux dela société actuelle, Yamina Benguigui a écrit le témoignage le plus sensible, le plus juste, le plus fort. Un classique désormais.

    Quelques mots sur l'auteur: Réalisatrice de télévision, Yamina Benguigui a consacré en 1995 une série de trois films aux femmes d'Islam. Cette série a connu un impact exceptionnel et a été primée dans de nombreux festivals et en particulier part un "Award" à San Francisco."

     

    Je l'ai lu quand j'étais à la fac. C'est un témoignage très fort, vraiment poignant. Cela ne m'étonne pas que ce soit devenu un classique. Franchement, il faut le lire...(Dans mon cahier de lecture, j'ai mis 4 étoiles mais il mérite plus que des étoiles!)

     

  • La ligne verte

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    6 Librio Stephen King

    "Ça s'est passé en 1932, quand le pénitencier de l'État se trouvait encore à Cold Mountain. Naturellement, la chaise électrique était là. Ils en blaguaient de la chaise, les détenus, mais comme on blague des choses qui font peur et auxquelles on ne peut échapper. Ils la surnommaient Miss Cent Mille Volts, la Veuve Courant, la Rôtisseuse."

    "Dans le bloc des condamnés à mort, au bout d'un long couloir que les prisonniers appellent la ligne verte, la chaise électrique attend John Caffey. Le meurtrier des petites jumelles Detterick, jadis découvert en larmes devant leurs cadavres ensanglantés.

    Paul Edgecombe, le gardien-chef, l'accueille comme les autres, sans état d'âme. Pourtant, quelque chose se trame...
    L'air est étouffant, la tension à son comble. Un rouage va lâcher, mais pourquoi ?
    Les provocations sadiques d'un maton dérangé, la présence d'une souris (Mister Jingles) un peu trop curieuse, l'arrivée d'un autre condamné ?

    Aux frontières du roman noir et du fantastique, ce récit est avant tout une brillante réflexion sur l'exécution capitale."

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    Un super roman de Stephen King, bouleversant, plein de magie et de personnages inoubliables.
    Je l'ai lu avant de passer mon bac de français, entre Moderato Cantabile de Marguerite Duras et Candide de Voltaire! 

    J'ai adoré! Dés que j'ai pu, j'ai loué le film. Je voulais voir comment ils avaient bien pu tourner ça et le résultat est très réussi.  ♥

  • Le Monde de Sophie

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    "Qui es-tu?", "D'où vient le monde?" Voici les questions que l'héroïne de ce roman, la jeune Sophie, âgée de quatorze ans, reçoit d'un expéditeur mystérieux. Commence alors une fabuleuse aventure à la découverte de l'histoire de la philosophie. En compagnie de Sophie, le lecteur est initié de manière attractive aux grands moments et systèmes de la pensée occidentale: Platon, Socrate, Aristote, le Moyen-Age, la Renaissance, Spinoza, Hegel, Marx, Freud...

    Cet ouvrage audacieux et très original tient un incroyable pari: celui de promouvoir par le détour de la fiction romanesque une meilleure connaissance de la philosophie parmi les jeunes et les moins jeune. Il réussit à captiver le lecteur du début à la fin par une intrigue étonnante, digne d'un bon thriller."

     

    J'ai vraiment un bon souvenir de ce livre. D'ailleurs, mon pseuso Hilde vient de là! Je l'ai lu pendant l'été 1996. A cette époque, j'étais curieuse de tout ce qui touchait à la psychologie et à la philosophie. Je dois quand même préciser que certains passages philosophiques étaient assez difficiles à lire et que leur signification a dû m'échapper! Enfin, je le conseille à tous ceux qui s'intéressent à la philosophie, qui ont envie de découvrir ce que c'est ou qui ont veulent se réconcilier avec elle. (parfois l'enseignement de la philosophie au Lycée casse un peu l'idée qu'on se faisait de cette matière. J'en sais quelque chose!) Et puis il y a l'histoire de Sophie Amundsen. Une histoire un peu magique, un peu mystèrieuse.

  • Plus dur

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    Essayez de trouver l'auteur!

    Extrait 1: "A propos, vous avez essayé le numéro de téléphone de Dieu?

    -Non faute de temps..."

    Extrait 2: " On ne pourra pas dire que l'âge m'ait rendu plus intelligent. Un écrivain russe disait que, si le caractère pouvait s'altérer quelque peu, la médiocrité demeurait identique pour l'éternité. Ils sont quelques fois très avisés ces Russes. C'est sans doute qu'ils ont tout l'hiver pour gamberger."

    Ce roman est vraiment terrible quand j'y pense. Si d'ici quelques mois personne n'a trouvé, je vous donnerais quelques indices! (je suis trop gentille!!) Bon je ne vais pas attendre quelques mois, sinon, ce message va se perdre sur le blog!

    Indice N°1: Il a étudié la tragédie grecque et a dirigé un bar de jazz à Tokyo avant de se consacrer totalement à l’écriture.

    Indice N°2: C'est une histoire de mouton.

    Je pense que j'en ai déjà trop dit!

    Pour en savoir plus sur La course au mouton sauvage, allez directement sur la note correspondante en cliquant sur ce lien: http://bloghost.hautetfort.com/litterature_japonaise/

     

  • Parti en vacances

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    Mon moral est parti en vacances. Il a pris ses valises et il est parti. Où? Je n'en ai pas la moindre idée.  J'espère qu'il va bientôt rentrer. Je commence à m'impatienter! (je commence même à taper du pieds...)

     

    Je suis abonnée à la newsletter Biblio-fr, ça me permet dêtre au courant de l'actualité des bibliothèques. C'est souvent très intéressant mais dés que je regarde les offres d'emplois, j'ai le moral " qui taille la zone". (pour reprendre les paroles d'une chanson d'Alain Souchon)

    Qu'est-ce que j'y vois de si terrible? Et bien qu'il manque sur mon CV une formation de deux ans qui se fait normalement après le bac.

    Cette nuit, j'ai rêvé que je repassais mon bac, que j'avais de meilleures notes et que je disais à mon père: "tu vois Papa, cette fois, je vais pouvoir faire un Deust Métier du livre" Cela m'a fait peur ce matin, au réveil. Je me suis dit, "ça ne va vraiment plus si ça commence à te travailler aussi la nuit"! Je pense que c'est pour ça que mon moral a pris des vacances (au ski peut-être!) Je devrais peut-être prendre quelques "vrais" vacances moi aussi et refaire le point après. (ça ne me ferait pas de mal mais je n'ai pas la possiblité de voyager en ce moment, à par avec mes livres. ;-) C'est déjà bien, je n'ai pas à me plaindre.  

  • L'école des chimpanzés

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    Découvrez le titre et/ou l'auteur de la couverture de livre que vous avez sous les yeux!
    Arsenik a trouvé! Il s'agissait de L'école des chimpanzés de Roger Fouts et StephenTukel Mills.
    "L'expèrience que relate ici Roger Fouts est troublante à plus d'un titre. Elle montre que, contre toute idée reçue, des singes peuvent communiquer avec des hommes, allant jusqu'à partager leurs émotions. Il a en effet consacré trente ans de sa vie à dialoguer avec Washoe, une guenon née en Afrique, en utilisant le langage gestuel des sourds américains, que l'animal a pu rapidement assimiler. Trente ans de joie et d'émerveillements qu'il nous fait partager, au fil des pages, boulversant toutes nos certitudes. Un livre qui nous interroge sur nos origines et sur l'incroyable proximité de ces "cousins biologiques" que sont les chimpanzés."




    C'est un très bon livre. Roger Fouts est un scientifique américain de réputation internationale, fervent militant de la défense des animaux. La préface a été écrite par Jane Goodall, une grande primatologue. C'est vraiment une expérience incroyable, on y apprend beaucoup.

  • L'histoire de Bone

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    Dorothy Allison

    "En Caroline du Sud, les étés sont étouffants. Les soirées se passent sur la véranda, à boire du thé glacé et à raconter des histoires. Ruth Anne Boatwright, surnommée Bone par sa famille et estampillée "bâtarde" par le comté de Greenville, se souvient. Elle revoit sa grand-mère édentée, impertinente, ses tantes farouches, usées par leurs grossesses, ses oncles violents, ivrognes pris au piège de leur misère. Elle se souvient de l'amour qu'elle portait à sa mère et de la haine grandissante qu'elle éprouvait pour son beau-père. Elle se souvient et elle raconte, avec une brutale sincrité, les aspirations d'une petite fille, la violence insoutenable, l'amour obstiné. Ce premier roman largement autobiographique, écrit pour exorciser cette enfance brûlée, a été finaliste pour le National Book Award en 1992."

    J'ai déjà lu une trentaine de pages de ce roman. J'aime bien la manière de raconter de Dorothy Allison. Beaucoup de simplicité.

    jeudi 9 mars

    J'en suis actuellement à plus de la moitié mais ça pourrait aller plus vite si je voulais. C'est que depuis hier, je passe plus de temps à observer mon petit cochon d'Inde qu'à lire!

    Et puis c'est vraiment triste comme livre. Si vous avez l'intention de le lire, je vous conseille de "doper" votre moral. J'ai lu des livres plus "difficiles" mais je trouve que celui-là mène la vie dure à mes glandes lacrimales! Bon j'exagère un peu. (j'ai juste les yeux un peu humides des fois) La couverture du livre reflète assez bien l'ambiance générale du roman. Une petite fille au regard triste, aux vêtements abimés...

    samedi 11 mars

    Je viens de terminer ce livre. Je n'ai pas énormément de choses à rajouter. (je ne veux pas dévoiler quoi que ce soit) Tout ce que je peux dire, c'est que je vais me trouver une lecture un peu plus joyeuse!

  • Une heure, une vie

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    Présélection 2005-2006 Prix Ados ville de Rennes: Jeanne Benameur. (Niveau de lecture: Collège)

    "Famille décomposée tranquille... Les parents d'Aurélie se séparent sans drame. Bien. Si bien qu'Aurélie ne trouve plus sa place pour dire sa peine. Traversée de questions sur l'amour, déchirée de ne pas oser en parler, elle n'a d'issue que dans le mensonge. Après le week-end chez son père, dans le train qui la ramène chez sa mère, Aurélie s'invente donc une vie chaque fois différente, toujour tragique. Elle la raconte... et si l'histoire est imaginaire, les larmes ne le sont pas. Qui pourra l'aider à parler vraiment?"

    23h30: J'en suis à la moitié. C'est vraiment triste comme roman. L'héroïne se pose tellement de questions... Petit extrait (page 7): " Quand mes parents m'ont annoncé qu'ils avaient des choses importantes à me dire, on était tous les trois au salon. Ils parlaient. ça me faisait le gouffre à l'intérieur. Ils parlaient ils parlaient."

    Je l'ai terminé hier soir. Je pense que si j'avais lu ce roman au collége, j'aurais bien aimé cette histoire. Je trouve que c'est bien écrit, mais un peu court (moins de 90 pages de lecture)