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roman - Page 12

  • Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban

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    Je suis de retour aujourd'hui pour vous parler du troisième tome d'Harry Potter.

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    J.K. Rowling

    Gallimard Jeunesse, 2001

    349 pages

    Dans ce troisième tome, Sirius Black, un dangereux prisonnier de la célèbre et terrifiante prison d'Azkaban s'est évadé et semble être à la recherche d'Harry.
    Considéré comme un fidèle partisan de Voldemort, responsable de la mort de plusieurs "moldus", la menace n'est pas prise à la légère. Des gardiens d'Azkaban: les détraqueurs sont aux portes du collège et Harry se retrouve sous haute surveillance.

    La vie a Poudlard, elle se déroule presque normalement pour cette troisième année entre le nouveau cours passionnant de Défense contre les forces du Mal du professeur Lupin, celui de divination, à mourir d'ennui du professeur Trelawney, l'emploi du temps surchargé d'Hermione, les matchs de Quidditch et la guerre entre Croutard (le rat de Ron) et Pattenrond (le chat d'Hermione).

    Mais le Sinistros apparaît partout autour d'Harry, le danger rôde...

    J'ai trouvé ce troisième tome encore plus passionnant que les précédents car le final est particulièrement réussi, avec ce retournement de situation incroyable.
    De nouveaux personnages apparaissent, de nombreuses surprises magiques, quelques révélations sur les parents d'Harry. On apprend également l'existence des animagus, du patronus, bref je n'en dis pas plus.

    Rogue apparaît encore plus borné, aveuglé par ses sentiment haineux. Un peu d'empathie pour le personnage? Pas vraiment.
    Quand à Malefoy, cette petite teigne sournoise, Hermione accomplit un geste... libérateur qui pourrait être commenté d'un: "Il l'a pas volée, celle là!"

    J'ai apprécié la redécouverte de Pré-au-Lard (j'aimerais bien aller chez Honeydukes ), l'utilisation de la carte du maraudeur (une superbe invention), Buck l'hippogriffe (sacré Hagrid quand même).

    Je l'ai lu presque d'une traite, il s'agit encore d'un très bon moment de lecture. J'enchaîne bientôt avec le quatrième tome.


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    Semaine Spéciale British Series!

    Organisé par Sofynet (et son superbe logo British Series) et Hilde

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  • Harry Potter et la chambre des secrets

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    Le Mois Anglais passe à une vitesse folle! Côté lectures, je m'amuse beaucoup avec la relecture d'Harry Potter. C'est parti pour le deuxième tome! 

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    J.K. Rowling

    Gallimard Jeunesse, 2001

    271 pages

    Dans ce second tome, le règlement sera enfreint de nombreuses fois: chez les Dursley avec un sortilège de lévitation, à bord d'une voiture volante, pour concocter une potion de polynectar mais la chambre des secrets a été ouverte, Harry entend des voix, parle une drôle de langue et la créature qui a été libérée s'attaque à certains élèves. L'école va-telle devoir fermer?

    De nouveau personnages: Dobby (un elfe de maison) venu le prévenir de ne pas retourner à Poudlard, Mimi Geignarde (fantôme) coincée dans les toilettes, Gilderoy Lockhart, personnage hautement charismatique et nouveau professeur de défense contre les forces du Mal et Tom Jedusor.

    Cette saga se révèle très addictive. Une fois commencée, on a irrésistiblement envie de poursuivre avec les autres tomes. A l'heure où je termine la rédaction de ce billet, j'ai déjà lu 150 pages du troisième volume.
    Une série qui se lit donc facilement, adaptée à un jeune public (9/10 ans selon le niveau de lecture, et la motivation) mais agréable à lire aussi pour des adultes. En VO j'arrivais aussi à suivre et je n'ai pourtant jamais eu un niveau d'anglais très élevé.

    Plus d'action et de suspense dans ce second tome bien que l'histoire n'ait plus aucun secret pour moi, mais, on ne sait jamais, je pense pouvoir encore faire quelque découvertes.
    J'avais oublié,  Gilderoy Lockhart, et les nombreuses situations ridiculement drôles qui découlent du personnage, tout au long du roman.

    On retrouve avec plaisir la vie scolaire à Poudlard, les parties de Quidditch, les différents personnages.
    Beaucoup de bons moments dans ce tome mais aussi une ambiance plus sombre que dans le précédent, un climat de suspicion, d'intolérance envers les enfants qui ne viennent pas d'une famille de sorciers et cette confrontation finale...

    Encore un bon moment de lecture en compagnie d'Harry Potter.

     


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  • Magie Brute -1

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    Chroniques du Grimnoir - 1

    Larry Correia

    L'Atalante, 2012

    "États-Unis, début des années 1930. Les dirigeables sillonnent le ciel, Berlin est peuplée de zombies et la magie, apparue depuis près d’un siècle, a changé la donne. Le grand public hésite entre admiration et haine des « actifs », ces gens qui se téléportent, lisent dans les esprits, modifient la gravité, contrôlent les animaux, guérissent par imposition des mains…
    Deux organisations de magiques se livrent une guerre souterraine acharnée : l’Imperium et son maître le « président »,qui tiennent le Japon, et le Grimnoir, société secrète de résistants aux intentions louables mais aux méthodes discutables.
    Jake Sullivan, lui, vétéran de la Grande Guerre au passé de truand, ne doit la liberté qu’à son serment de mettre ses pouvoirs au service du FBI chaque fois qu’une enquête implique des « actifs » criminels. Il sera bientôt confronté aux véritables enjeux géopolitiques d’un monde au bord de l’enfer et de la destruction ; il lui faudra choisir son camp." Présentation éditeur

    "Roman de fantasy urbaine à la croisée du polar, du steampunk et de l’uchronie, ce premier livre des « Chroniques du Grimnoir » louche aussi sur le double héritage des comics et des pulps américains."

    De la magie, des êtres dotés de super-pouvoirs, un côté steampunk, un peu d'humour, des héroïnes intéressantes, quelques zombies et surtout beaucoup d'action dans ce roman.

    J'ai trouvé  l'écriture très agréable, l'univers bien consistant. Voilà un mélange des genres qui fonctionne du tonnerre! C'est loin d'être toujours le cas. J'ai aussi apprécié le remaniement de l'Histoire, les combats épiques et l'ambiance générale tout au long de l'histoire.

    C'est très bien ficelé, à la fois distrayant et captivant. J'ai suivi avec intérêt Faye, Jack Sullivan et la destinée des chevaliers du Grimnoir. 

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    J'ai adoré ce roman. Vivement la suite.


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    Le début d'une nouvelle série pour Fin de série,

    Chez Acr0

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  • Harry Potter à l'école des sorciers

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    C'est le Mois Anglais alors j'en ai profité pour relire le premier tome d'Harry Potter.

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    J.K. Rowling

    Gallimard Jeunesse, 2001

    232 pages

    Harry Potter, vit chez son oncle et sa tante, les Dursley, au 4 Privet Drive, Little Whinging, dans le placard sous l'escalier.
    Le jour de son 11ème anniversaire, il  découvre qu'il appartient au monde des sorciers, et qu'il est inscrit d'office au collège Poudlard. Une nouvelle vie commence pour lui mais que s'est-il vraiment passé le jour où ses parents sont morts?

    J'étais très contente de retrouver l'univers d'Harry Potter. Les image du films s'imposent parfois mais le plaisir de la lecture est toujours là.
    Sans compter que les détails de l'histoire s'estompent avec le temps alors, il faut bien se rafraîchir la mémoire et puis, ce premier tome fait moins de 300 cent pages et se lit très vite, donc aucune raison de se priver d'une relecture.

    On y présente les personnages, le monde des sorciers et des moldus, le fonctionnement du collège Poudlard, on prend aussi conscience du danger que représente Voldemort, bref, c'est vraiment le début des aventures d'Harry.
    J.K. Rowling prend le temps de nous installer, bien confortablement, c'est magique avec la découverte du Chemin de Traverse, des parties de Quidditch (sur la Gamecube, je faisais de beaux scores), des cours (métamorphose, sortilèges, premier cour de vol...).

    Beware! Les choses se corseront dans les prochains tomes.

    On assiste aussi à la naissance d'une amitié: celle d'Harry, Ron et Hermione et puis c'est chouette de revoir tous les personnages, qui deviendront familiers au fil des tomes: une partie de la famille Weasley (Mr Weasley n'apparaît pas dans ce premier tome), Hagrid, Albus Dumbledore, les professeurs du collège: Minerva McGonagall, Severus Rogue sans oublier le vilain Malefoy.

     Un chouette moment de lecture me rappelant l'époque où je mangeais des chocogrenouilles et où j'étais en fac! Un peu plus de 10 ans se sont écoulés depuis ma première lecture.


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  • La Mini-chronique du Livroblog #2

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    Dans cette deuxième Mini-chronique (pas si mini que ça d'ailleurs), je vous propose deux romans très différents. 

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    Le Trône de fer 11, Les Sables de Dorne

    George R.R. Martin

    J'ai lu Fantasy, 2012

    Je sais que le risque de spoiler est énorme mais pas de panique, je ne vous révèlerai rien, c'est promis. C'est d'ailleurs pour cette raison que je n'ai pas choisi le format de billet habituel avec résumé et allusions directes à l'intrigue.

    Si jamais vous souhaitez en discuter, n'hésitez-pas à m'envoyer un Message Privé sur Face de Book, par exemple.

    Après avoir terminé la saison 3 de la série TV, je n'ai eu qu'une envie: reprendre la lecture des romans. J'ai commencé la saga en 2005 et j'avance tranquillement. Je prends vraiment mon temps, avec le risque de perdre le fil de l'histoire d'ailleurs, ça m'est déjà arrivé mais tant que les livres ne sont pas tous édités en poche, j'essaye de ne pas me précipiter.

    Je n'ai pas vu le temps passer avec ce onzième tome, cette saga est toujours aussi passionnante. Je suis contente de retrouver certains personnages, d'autres un peu moins mais ça toujours été comme ça. 
    Les manigances diaboliques de certain(e)s font froid dans le dos mais tout ne se passe pas vraiment comme prévu, alors tant mieux. Des faits antérieurs ont marqué les esprits, ça reste très présent. Le sens de l'honneur n'a forcément la même signification d'une famille à l'autre.

    Certains finissent pas se croiser, les recherches continuent, c'est dur quand même cette alternance de personnages choisie par George R.R. Martin, il sait conserver le suspense jusqu'au bout et jouer avec nos nerfs! Le tome 12 bientôt...

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    le trône de fer,george r.r martin,roman,brasyl,ian mcdonald,challenge geek

     Brasyl

    Ian McDonald

    Bragelonne, EPub, SF


    "Trois époques, trois histoires, trois Brésil. Une même énigme." Et Hilde un peu dépitée!

    Le quatrième de couverture était pourtant prometteur mais au final c'est terriblement compliqué de parler de ce livre et le grand flou domine.

    J'ai souvent été partagée par l'envie de savoir ce qui aller se passer mais aussi par celle d'abandonner sur le champ. Je suis allée au bout, grâce à une lecture intensive, et parce que je voulais partager mes impressions. Malheureusement, le plaisir de lire n'était pas toujours présent, bien que le style ne soit pas désagréable.

    D'un autre côté, tout ce qui touche aux technologies futuristes, aux mondes parallèles  m'intéresse, me fascine un peu mais tellement de choses m'ont échappée, gâchant un peu le plaisir de la découverte. 

    Des longueurs, de nombreux passages incompréhensibles, qui m'ont ennuyée, une intrigue traînante, des liens qui n'apparaissent que tardivement, des personnages pas très captivants voilà ce qui m'a posé problème.
    Je n'ai pas pu m'empêcher de survoler à certains moments, et la fin, ne m'a pas laissé  un souvenir impérissable. Je l'ai déjà un peu oubliée alors que la lecture est plutôt récente, bref il faut vraiment s'accrocher. Je n'étais peut-être pas tout à fait prête, pour ce genre d'expérience littéraire.

    --> Malgré tout, j'ai quand même bien envie de découvrir Le Fleuve des Dieux du même auteur.

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    • Retrouvez Brasyl chez Vert,


    Lu avec le Cercle d'Atuan.

    roman,littérature

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  • Fétiches

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    Fétiches.JPG

    Mo Hayder, écrivain britannique.

    Un grand merci à Audiolib pour cette découverte.

    Et si la folie était ce qu’on pouvait leur souhaiter de mieux ?

    Les patients de l’établissement psychiatrique de Beachway sont très sensibles à la suggestion. Aussi, lorsque plusieurs malades se livrent à des actes d’automutilation, et que l’un d’entre eux va jusqu’à se donner la mort, le fantôme de « la Maude », une infirmière sadique, ressurgit du passé.

    Face à cette psychose collective, AJ, l’infirmier psychiatre en chef, demande à l’inspecteur Jack Caffery d’enquêter. Il soupçonne l’un de ses patients récemment libéré, Isaac Handel, un parricide amateur de poupées vaudou, d’être le responsable de l’hystérie collective…

    Résumé éditeur

    Je n'avais encore jamais lu de romans de Mo Hayder, c'est donc une découverte et, j'ai de la chance, elle est plutôt réussie. J'ai passé de bons moments à écouter ce livre audio (environ 12 heures d'écoute), lu par François Hatt.

    Je n'ai pas vu le temps passer, captivée par l'histoire. Du suspense, des personnages intéressants et cette rumeur de fantôme "La Maude" prenant de l'ampleur, bref je n'ai ressenti aucune longueur. Au contraire, j'étais pressée à chaque fois de reprendre là où je m'étais arrêtée.

    D'un côté, les affaires d'AJ à l'hôpital, les patients (Mère Monstre, Zelda, Isaac...), quelques collègues, Mélanie, sa supérieure, sa vie privée aussi, de l'autre Jack Caffery  inspecteur de police, couvrant sa collègue de travail, Fléa et menant l'enquête à la demande d'AJ. L'alternance des deux intrigues ne m'a pas dérangée mais la seconde m'a moins passionnée.

    Une ambiance particulière qui s'installe dés le départ, me faisant un peu fait penser à celle de Shutter Island, en moins pesante tout de même, bien que certains passages soient assez terrifiants.

    Finalement, j'apprécie de plus en plus, ces intrigues un peu fantastiques en apparence qui finissent pas se rationaliser d'une manière ou d'une autre. Je m'attendais un peu à ce genre de dénouement, mais j'ai quand même ressenti l'effet de surprise et les quelques frissons qui vont avec.

    fétiches,mo hayder,audiolib

    Un thriller efficace, divertissant, avec des personnages attachants, j'ai bien envie de poursuivre avec d'autres affaires de l'inspecteur Jack Caffery.

    J'apprécie de plus en plus les livres audio et vous? 

  • Les Tribulations d'un mage en Aurient

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    L'an dernier à cette date, nous étions quelques unes à avoir publié un billet pour l'anniversaire de Terry Pratchett. Cette année, Purple, Sofynet et moi avons décidé de recommencer.

    • Terry Pratchett est donc né le 28 avril 1948. C'est un écrivain britannique. Son premier roman est Le Peuple du tapis mais on l'associe surtout aux Annales du Disque-monde, une série fantasy pleine d'humour. Il publie environ 2 à 3 livres par an.
      Il est atteint d'une forme de la maladie d’Alzheimer et défend le droit à l'euthanasie. 

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    Terry Pratchett

    Les Annales du Disque-monde

    Tome 17

    Éditions L'Atalante, 1994, 2001

    407 pages.

    "Voici où les dieux jouent avec les vies des hommes, sur un plateau qui est à la fois aire de jeu et le monde entier. Et le Destin gagne toujours. Oui, le Destin gagne toujours. La plupart des dieux jouent aux dés mais le Destin, lui, jouent aux échecs, et on ne découvre qu'à la fin, donc trop tard, qu'il s'est servi depuis le début de deux reines." page 9

    Lorsque le seigneur Veterini (Patricien et dirigeant de la ville d'Ankh-Morpork) montra à l’archichancelier de l'Université de l'Invisible, Mustrum Ridculle, l'étrange message provenant du continent Contrepoids, ordonnant qu'on leur envoie le grand "maje".
    Un seul candidat pouvait correspondre à cette description hasardeuse: le calamiteux mage Rincevent (une vraie catastrophe ambulante).

    Envoyé par Sort (la machine infernale de Cogite Stibon "pour explorer l'inconnu et faire progresser la quête de la connaissance" dixit Le Nouveau Vade-Mecum), à des milliers de kilomètres, il trouvera là-bas Cohen le barbare et sa fine équipe de héros légendaires sur le retour, une bande de révolutionnaires souhaitant en découdre avec l'Empire Agatéen, un vizir assoiffé de pouvoirs prêt à se battre.

    Et peut-être saurez-vous ce qu'il advient du coffre... cette gentille petite malle avec plein de jambes capable de bouffer des requins.

    Je l'ai commencé vendredi en fin d'après-midi et j'ai tourné la dernière page samedi soir: Une lecture intense, sans temps mort.

    Accompagner Rincevent dans ses aventures est toujours un plaisir. Plein de péripéties et d'humour au programme. D’abord avec les mages de l'Université de l'Invisible, où le délire règne en permanence dans cette institution, mais aussi en Aurient dans un Empire aux règles strictes, où de vieux barbares croulants (se faisant appeler la Horde d'Argent) envisagent de prendre le palais en catimini.

    Les barbares sont incurables, un peu séniles, les dialogues parfois croustillants et irrésistiblement désopilants bien que des sujets plus sérieux soient souvent abordés en toile de fond et que certains passages méritent sûrement d'être décryptés.

    Enfin, maintenant j'ai une image très précise de Rincevent prenant ses jambes à son cou. Ce personnage excelle dans l'art de la fuite.

    Bref, vous l'aurez compris, j'adore le style de Terry Pratchett, son humour, ses jeux de mots, ses descriptions insolites et uniques en leur genre, ses nombreuses références. J'ai pris beaucoup de plaisir à la lecture, encore plus que d'habitude, je crois. Bravo également au traducteur: Patrick Couton.

    Dans Sourcellerie, je m'étais un peu noyée dans un flot de magie, dans Le Dernier Continent, c'est l'histoire qui m'avait un peu échappée, mais ici  rien à redire. Je me suis laissée simplement porter par l'histoire, que j'ai trouvée assez captivante jusqu'à la fin

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     Un très bon moment de lecture.

    Happy birthday sir Terry Pratchett!


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    Fin de série,

    Chez Acr0

    Je suis fofolle d'ajouter ce logo, je n'arriverai jamais à terminer cette série!

    documentaire,merveilleux cosmos

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  • Points chauds

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    Pour clore cette semaine des petits hommes verts, je vous propose une "chronique express" de Points Chauds.

    Points chauds, roman

    Bonus: Un guide de survie en situation de contact alien

    Laurent Genefort

    Le Livre de Poche, 2014
    Éditeur d'origine: Le Bélial, 2012
    384 pages

    Depuis le mois de septembre 2019 et l’ouverture des premières Bouches, ces passages spatio-temporels par lesquels des myriades d’aliens se sont engouffrés sur terre, rien n’est plus pareil. Effervescence, exultation, panique… À présent nous ne sommes plus seuls.
    Face à ces extraterrestres d’origines, de mœurs et d’aptitudes diverses, il faut faire face, s’adapter. Oui, mais comment ?...
    Heureusement, vous trouverez en seconde partie de ce livre Aliens, mode d’emploi, votre guide indispensable pour survivre dans ce nouveau monde où désormais un alien peut surgir à chaque coin de rue. Quatrième de couverture

    Les Aliens débarquent sur Terre. Ont-ils l'intention de s'installer ou sont-ils juste de passage?

    Ce roman est composé de témoignages racontant l'arrivée des aliens, leur passage sur Terre, l'accueil qui leur est réservé, le comportement des humains à leur égard. Quelques messages d'information les séparent.

    Très agréable et facile à lire, suscitant diverses réflexions sur la nature humaine et extraterrestre, j'ai apprécié la lecture de ces 234 pages.

    Léger, divertissant, on n'a pas vraiment le temps de s'attacher aux personnages mais on comprend leurs dilemmes, les choix qu'il sont amenés à faire. J'ai été touchée par Camila et le sort des Shaytans, par le voyage de Prokopyé avec les héhé-ty. Parfois une touche d'humour, des moments plus graves, tout est plutôt bien dosé.

    La fin est subtile et j'aime beaucoup les perspectives qu'elle offre.

    Vous trouverez aussi dans ce livre un glossaire répertoriant les différentes variétés d'Aliens, elles sont nombreuses ainsi que le fameux guide: Aliens, mode d'emploi, que j'ai feuilleté avec plaisir. Les pictogrammes sont amusants, je trouve que c'est un choix intéressant pour les illustrations.


    J'ai évidemment pensé au Guide de survie... de Max Brooks mais avec des aliens.

     Un moment de lecture très divertissant.

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  • Cornes

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    Je connaissais déjà Joe Hill (le fils de Stephen King) avec la série Locke & Key (excellente série, le dernier tome est prévu pour le 18 avril, je l'attends avec impatience) mais je n'avais encore lu aucun de ses romans.

    J'ai sorti Cornes de ma P.A.L pour un défi du Week-end à 1000 qui consistait à faire une lecture commune. Valeriane qui avait elle même un défi d'organisé avec ce roman, a eu la gentillesse d'accepter cette LC improvisée.

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    Joe Hill

    J'ai lu, 2010, 2011

    508 pages

    Ig (Ignatius Perrish), un jeune américain est soupçonné de viol et de meurtre sur sa petite amie Merrin, sa vie ne ressemble plus à rien. Un matin, il découvre que des cornes lui ont poussé sur la tête et que les personnes avec qui il s' entretient lui révèlent leurs pensées, les plus dérangeantes. Il attire aussi les serpents, et va découvrir finir par découvrir la véritable identité du tueur.

    Diable ou démon, il devra aller jusqu'au bout.

     
    J'ai lu les deux première parties tranquillement et puis, entraînée par le rythme infernal du roman, j'ai enchainé les autres jusqu'à la fin, captivée. Je n'ai pas trouvé le temps long, j'ai vraiment été happée par l'histoire, par tous ses mystères.

    En puis, ça décape, les révélations sont terrifiantes, toutes les professions en prennent pour leur grade: médecin, policier, prêtre..., même ses proches n'y échappent pas. C'est vraiment tendu par moment, intense et cruel. J'ai éprouvé énormément d'empathie pour Ig pendant la lecture.
    Si le climat de ce roman est parfois un peu pesant, certains passages sont drôles, bourrés d'humour noir, d'autres au contraire sont dérangeants, nous montrant un personnage torturé intérieurement, un autre éprouvant de la culpabilité. Les personnages sont très intéressants d'un point de vue psychologique, attachants aussi et la manière dont on prend connaissance des faits, se fait de manière progressive et bien que l'effet de surprise ne soit pas immense, c'est quand même habilement mené.

    J'ai beaucoup apprécié le style décontracté de Joe Hill, l'atmosphère créée et trouvé aucune difficulté à la lecture. Quelques passages un peu mystiques peuvent dérouter un peu le lecteur mais y étant sensible, ça ne m'a pas tellement freinée.

    Le seul bémol pour moi, c'est la fin, qui ne m'a pas tout à fait convaincue. J'ai d'ailleurs eu du mal à comprendre où l'auteur voulait en venir dans la dernière partie du roman. Je l'ai relue une deuxième fois, et j'ai fini par trouver certains éléments pas très logiques ou pas aboutis, avec cette cabane mystique par exemple ou concernant l'origine des cornes, bref c'est dommage, car même si ça ne m'a pas empêchée de le dévorer en quelques jours et de passer un très bon moment, avec le recul, mon enthousiasme s'est un petit peu relâché.

    cornes,joe hill,roman,thriller

    Néanmoins, ça reste quand même une découverte originale et une lecture très agréable.
  • Musashi

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     Un E-Book découvert dans le cadre d'une lecture commune avec Sofynet.

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     FeiBi Chen

    Merci à l'auteur pour cette découverte bien sympathique.

    Game Atelier Books, 2013

    Le Commandant Don Walton se réveille au milieu des débris de la salle de navigation après une catastrophe survenue à bord de son vaisseau, le Musashi Destroyer-2.

    Au cours de son exploration, il fait la rencontre inattendue de deux passagers clandestins : Un petit garçon japonais poursuivi par une créature jusqu’alors inconnue de la race humaine.

    . 4ème de couverture

    J'ai pris plaisir à découvrir l'univers de Musashi. J'ai suivi agréablement les personnages avec d'un côté un acteur d'une série très populaire, (Star One) qui a perdu la mémoire, de l'autre Don Waldon véritable commandant à bord d'un vaisseau spatial: Le Mad. J'ai été impressionnée par l'habileté de l'auteure à relier tous les éléments de manière logique.

    Du rythme, peu de temps mort, de l'action, du suspense, plusieurs intrigues qui tiennent la route et rendent l'ensemble captivant.
    Des aliens et une nouvelle technologie qui modifie les perceptions des êtres humains.

    D'excellentes idées et en bonus des illustrations de Louis Darney qui permettent de visualiser complètement l'univers.

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    Quelques petites longueurs à la fin mais de très bonnes choses dans ce roman, je reste sur une bonne impression.


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  • La Marque de Windfield

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    Aujourd'hui, je vais vous parler d'un roman lu dans le cadre du Challenge British Mysteries, avec Choupynette, Soie. C'est le billet de Lou qui m'a donné envie de découvrir ce titre et j'ai eu la chance de pouvoir le réserver à temps à la Médiathèque.
    Il s'agit aussi de ma première rencontre avec Ken Follett.

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    Éditions Robert Laffont, 1993, 1994

    documentaire,merveilleux cosmos

    1866. Un jeune élève du collège de Windfield, non loin de Londres, se noie lors d'une escapade qui tourne au drame. Plusieurs garçons sont témoins. Parmi eux, Micky Miranda, fils d'un grand propriétaire terrien d'Amérique du Sud, Edward Pilaster, l'héritier de la fortune des Pilaster, une richissime dynastie de banquiers, et Hugh Pilaster, un cousin pauvre d'Edward, rejeté par la famille depuis que son père, victime d'un krach bancaire, s'est pendu. Ce tragique accident - mais s'agit-il d'un accident ? - et les secrets qui l'entourent vont marquer à jamais ces trois garçons. Leurs destins ne cesseront dès lors de s'entrecroiser au fil des rivalités amoureuses et des luttes impitoyables pour s'assurer le contrôle de la banque. Des bureaux lambrissés d'acajou des grands temples de la finance aux bas-fonds londoniens ou les gentlemen s'encanaillent dans le jeu et la débauche, tous seront tour à tour les instigateurs et les victimes d'un drame dont les péripéties se dérouleront inexorablement au long des années.
    Présentation éditeur

    Pour commencer, il m'a fallu une bonne centaine de pages avant que le déclic ne se produise. J'ai trouvé le début un peu long mais ensuite, je me suis intéressée aux personnages, aux manipulations,  escroqueries bancaires et intrigues amoureuses, que contiennent ce roman et une fois plongée dans l'histoire, je n'ai plus vu le temps passer.

    Des bordels de Londres, jusqu'au bureaux huppés de la banque Pilaster, Ken Follet, nous plonge au cœur même de la société victorienne et je dois dire que c'est à mon goût très réussi. L'univers de la banque ne m'est pas vraiment familier mais ça ne m'a posé aucun problème et puis ça change un peu des salons londoniens. J'ai trouvé l'affaire bancaire familiale passionnante. Les rebondissements sont nombreux, les réactions des personnages parfois imprévisibles, c'est assez savoureux aussi par moment. Je repense à certaines scènes un peu cocasses...

    J'ai évidemment suivi avec intérêt la destiné d'Hugh et de Maisie, espérant que la malchance ne serait pas toujours de leur côté, que la vérité éclaterait au sujet de la noyade et d'autres meurtres commis,  que les personnalités se révéleraient et je dois dire qu'à ce niveau là, je n'ai pas été déçue. Augusta Pilaster est loin d'être inintéressante, jusqu'au bout, je me suis posée des questions à son sujet.

    L'ensemble est bien ficelé, une écriture très fluide, une lecture assez agréable et bien que la fin soit un peu rapide à mon goût et assez prévisible par certains aspects, j'aurais apprécié qu'on développe un peu plus, ça reste un bon moment de lecture.

    Je suis très contente de mes deux dernières découvertes victoriennes. :)

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